Jingle : Cohésion, le podcast de la Caisse des dépôts qui vous accompagne
Journaliste : Bonjour à tous, c'est un plaisir d'être avec vous pour ce podcast cohésion. Au menu de cette édition, Ma retraite publique, l'offre de services en ligne pour les affiliés des régimes de retraite gérés par la Caisse des dépôts. Vous allez entendre les témoignages de 3 d'entre eux. Qu'ils songent à la retraite, fassent les démarches ou aient déjà passé le cap de la retraite, tous trois nous racontent leur expérience dans Ma retraite publique, ou comment Ma retraite publique a contribué à simplifier leur démarche de retraite.
François Le Goff a 55 ans. Auparavant dans une collectivité territoriale, il est maintenant dans la fonction publique d'état et il s'est connecté pour la première fois à Ma retraite publique. Son objectif : préparer sa retraite. François, parlons donc retraite : Où en êtes-vous aujourd'hui ?
François Le Goff : Alors justement ce changement professionnel et puis les années passant, les enfants grandissants, je n'ai pas vu les années passer et c'est vrai que la retraite je m’y suis inquiété finalement il y a peu et ce changement de fonction publique m'a fait réagir un petit peu en me disant mais voilà ça va compliquer la donne pour la retraite faut vraiment que je regarde ça de plus près. C'est là où je me suis connecté pour la première fois en fait à Ma retraite publique. Je me suis créé un compte avec je vous avouerai un petit peu d'inquiétude en me disant mais qu'est-ce que je vais découvrir parce que j'avais vraiment une vision très complexe du dossier de la retraite en me disant voilà c'est des milliers de choses à accumuler, à surveiller, à vérifier, à rechercher et finalement non.
Journaliste : Comment avez-vous entendu parler de ma retraite publique ?
François Le Goff : En fait j’avais déjà vu passer plusieurs fois le nom sur internet, sur les réseaux au travers la Caisse des Dépôts. J'avais vu des publications qui parlaient de Ma retraite publique donc forcément j'avais gardé ça dans un coin de ma tête.
Journaliste : Et du coup qu'est-ce qui vous a poussé à vous connecter malgré votre inquiétude ?
François Le Goff : En fait la plus grosse peur c'est que des choses manquaient dans mon dossier et donc je voulais vraiment une vue sur mon parcours et c'est vrai que là avec les plateformes j'ai vraiment été rassuré tout de suite parce qu'on a vraiment ce fil de vie, on voit tout le parcours et ça permet en un clic de se rendre compte des parties manquantes ou non.
Journaliste : Et donc aujourd'hui vous êtes rassuré ?
François Le Goff : C'est exactement ça en fait cette plateforme m’a vraiment rassuré parce que c'est très simple. On a vraiment un point d'entrée unique. Je m'attendais à me connecter à 36 000 plateformes, à devoir passer des coups de fils, à rechercher des papiers à droite à gauche enfin j'étais vraiment inquiet. Et je pense que vraiment le point fort de cette plateforme c'est qu'elle rassure. Je suis beaucoup plus serein, même si je garde un œil quand même sur ma carrière parce qu’elle est loin d'être finie. Je ne sais pas encore quand elle va s'arrêter mais en tout cas je sais aujourd'hui où je peux la surveiller entre guillemets, aujourd'hui je peux anticiper déjà la date à laquelle je vais formaliser ma demande unique de retraite. Elle me guide dans mes démarches dans tout ce que je dois faire, dans tout ce que je dois réaliser et puis ça a clairement simplifié les échanges avec mon employeur ça c'est clair. Je suis vraiment content d’avoir une plateforme comme ça parce que je ne m’attendais pas à pouvoir faire toutes ces demandes, ces démarches de façon aussi simple par rapport à ceux qui sont dans le privé voilà en tant que fonctionnaire je me sens vraiment chanceux d'avoir une plateforme comme celle-là.
Journaliste : Vous avez un conseil pour ceux qui nous écoutent et qui comme vous préparent leur retraite ?
François Le Goff : Je dirais qu'il faut anticiper n'attendez pas la dernière minute surtout que c'est tellement simple ça se fait vraiment en 3 clics et ça serait dommage de se contrarier une journée de plus, de stresser. Connectez-vous, rassurez-vous voilà et surveillez votre retraite surtout.
Journaliste : Après François c'est maintenant Bernadette Ribière que je rencontre. Bernadette a 64 ans, elle a travaillé dans une banque mais a eu aussi plusieurs expériences dans le secteur public et elle vit aujourd'hui à Toulouse. Parlons donc retraite : vous en êtes où aujourd'hui Bernadette ?
Bernadette Ribière : J'ai pris ma retraite au premier août et auparavant j'étais cadre bancaire dans le groupe BPCE.
Journaliste : Concrètement, quelles sont les démarches que vous avez engagées ?
Bernadette Ribière : Alors j'ai décidé de prendre ma retraite fin juillet donc j'ai fait beaucoup de choses en une semaine pour pouvoir être spécifiée retraitée au premier août et j'ai fait l'ensemble des demandes de mes retraites sur la Carsat, l’Agirc-Arrco, j’ai une retraite supplémentaire du groupe Caisse d'épargne et l’Ircantec tout en ligne.
Journaliste : Et comment se sont passées vos démarches ?
Bernadette Ribière : Moi j'ai eu la chance de voir un employeur pendant une longue période, différents métiers mais le même employeur donc en fait aucuns trous dans ma carrière non plus. Tout ce qui était bulletin de salaire et cetera était très facile à obtenir et je vais déjà bien évidemment un peu regarder auparavant et j'avais quasiment l'essentiel des documents qui étaient à fournir pour les différents organismes à ma disposition et quand on le fait en ligne c'est très simple.
Journaliste : Comment avez-vous finalisé votre demande pour l’Ircantec via votre espace Ma retraite publique ?
Bernadette Ribière : Pour l’Ircantec en fait ils m’ont viré un montant d'un seul coup au mois de septembre, parce que je n'ai pas une retraite mensualisée comme les personnes qui ont travaillé pendant longtemps dans les régimes qu'il y a. Donc lorsque j'ai fait ma demande Ircantec c'était dernière semaine de juillet, j'ai fourni une copie de l'accusé de réception de la Carsat pour ma demande de retraite. L’Ircantec n'attendait pas de ma part quand je lui envoie la notification Carsat. Ma demande date du mois de juillet et le versement Ircantec a eu lieu au mois de septembre. Tout a été très rapide, on ne m'a demandé aucun document complémentaire, tout était hyper simple. Comme il s'agissait de capital avec un montant relativement faible ça a été extrêmement fluide.
Journaliste : Et qu'appréciez-vous dans ce service en ligne ?
Bernadette Ribière : Alors moi ce que j’apprécie dans le service en ligne c'est que les documents qui étaient envoyés en ligne étaient traités dans un délai relativement court. Tout ce qui était envoyé en papier était beaucoup plus long en termes de traitement, ça approchait les 3 semaines contre les 5 jours ouvrés pour ce qui était en ligne. J’étais surprise par l’Ircantec qu’une demande de retraite de juillet soit versée en septembre donc c'est plutôt une bonne surprise.
Journaliste : Et vous avez un conseil pour ceux qui nous écoutent et qui comme vous ont demandé leur retraite ?
Bernadette Ribière : Le conseil que je donnerais à ceux qui veulent demander leur retraite, qu'ils aient un ou plusieurs régimes de retraite c'est vraiment de le faire en numérique. Les fichiers sont un peu toujours les mêmes : des bulletins de salaire, des actes de naissance et cetera. C'est tellement plus facile, tellement plus rapide.
Journaliste : Pour notre dernier témoignage je suis avec Charlotte Henri. Charlotte est retraitée après 44 années passées à travailler comme infirmière. A 70 ans, elle occupe aujourd'hui son temps entre l'animation d'ateliers seniors, les loisirs sportifs et ses petits-enfants. Commençons peut-être par un point sur votre retraite : vous en êtes où aujourd'hui ?
Charlotte Henri : Alors Charlotte Henri, 70 ans, j'habite la région Pays de Loire et je suis retraitée depuis 6 ans.
Journaliste : Comment avez-vous vécu ce passage à la retraite ?
Charlotte Henri : Je suis à la retraite donc depuis juillet 2016 et avant cela j'ai travaillé de nombreuses années dans des établissements publics et également dans des établissements privés un peu.
Journaliste : Et comment se sont passées vos démarches pour la retraite ?
Charlotte Henri : Et bien depuis 6 ans j'ai pu apprécier. J'ai pu apprécier parce qu’au début c'était un sentiment un peu mitigé avec une impression tout d'un coup d'être un peu inutile. Après, j'ai su apprécier la liberté dans la gestion de mon emploi du temps et puis au fil des années j'ai beaucoup apprécié. Pour moi ça a été très simple puisque je me suis adressée en fait au service de la retraite de mon établissement qui était à l'époque un établissement public et ils m'ont fait une simulation et j'ai concrétisé ma demande lorsque j'ai été prête. Mais auparavant j'allais sur un site pour faire une simulation. J'avais fait ça quelques années avant et puis, ensuite, je me suis adressée au service de l'hôpital.
Journaliste : Aujourd'hui comment suivez-vous votre retraite ?
Charlotte Henri : Alors je suis ma retraite sur Ma retraite publique. Je l'ai utilisé après être à la retraite, je n'en avais pas vraiment connaissance avant puisque comme je vous l’ai dit je suis passée par l'hôpital. Et en fait j'apprécie beaucoup.
Journaliste : Qu'appréciez-vous exactement sur cette plateforme ?
Charlotte Henri : C'est très facile d'accès, c'est simple, c'est tout à fait sécurisé : à chaque fois que je me connecte je reçois un mail comme quoi il y a une connexion. Je peux avoir tous mes renseignements : je sais ce que je vais toucher, je sais ce que j'ai reçu le mois précédent, je peux aller en arrière. J'apprécie également tout le détail qu'il y a au niveau des prélèvements sociaux comme les prélèvements fiscaux. Maintenant je peux télécharger mes attestations si j'en ai besoin, je peux poser une question si j'ai un doute et si j'ai vraiment un problème je sais que je peux les joindre par téléphone également.
Journaliste : Ma retraite publique, c'est une plateforme que vous conseilleriez ?
Charlotte Henri : Absolument, sans aucun doute. Je peux la conseiller d'abord pour sa simplicité et puis sa fiabilité.
Journaliste : Vous avez un conseil pour ceux qui nous écoutent et qui comme vous suivent leur retraite via Ma retraite publique ?
Charlotte Henri : Ah oui ! Alors compte tenu de cette simplicité d'utilisation et de la disponibilité du service, je leur conseille surtout de ne pas angoisser. Au pire, comme je vous ai dit, on peut les joindre par téléphone.
Journaliste : Avant de se quitter maintenant que vous êtes en retraite c'est quoi vos projets ?
Charlotte Henri : C'est de continuer ce que je fais qui me plaît beaucoup : j'aime beaucoup voyager donc je voyage, je fais du sport et je rencontre aussi beaucoup de gens. A chaque fois que je peux je rejoins des groupes pour pouvoir garder un lien social, c'est très important à la retraite ça.
Journaliste : C'est la fin de ce podcast spécial consacrée à Ma retraite publique, la plateforme de service retraite. On espère avoir répondu aux questions que vous vous posez sur ce sujet. Belle journée à vous tous et à bientôt.
Jingle : Cohésion, le podcast de la Caisse des Dépôts qui vous accompagne.